Cancer de la vulve

Cancer de la vulve est un type rare de cancer avec moins de 1.200 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année au Royaume-Uni. Les symptômes de cancer de la vulve comprennent: • le développement d'une masse notable, la masse ou la croissance de la verrue-comme sur une section de la vulve • démangeaisons persistantes dans la vulve • douleur au moment d'uriner • saignement de la vulve ou le passage d'un écoulement sanglant Contactez votre médecin si vous ressentez un de ces symptômes. Ils sont peu susceptibles d'être la cause du cancer de la vulve, mais ils auront besoin d'une enquête plus approfondie. Les types de cancer de la vulve Les divers types de cancer de la vulve sont classées par le type de cellules du cancer se développe en premier. De loin le plus commun est connu comme le carcinome spinocellulaire, qui représente plus de 90% de tous les cas de cancer de la vulve. Dans ce type le cancer se développe dans des cellules présentes sur la couche externe du corps. Le mélanome représente la vulve pour 4% de tous les cas. Dans ce type le cancer se développe dans les cellules qui donnent à la peau sa couleur. Autres types très rares cas de cancer de la vulve sont les suivants: • adénocarcinome, qui se développe à partir des cellules qui tapissent les glandes de la vulve • carcinome verruqueux, qui est un type à croissance lente de cancer de la vulve qui ressemble à une verrue • sarcome, qui se développe dans les tissus tels que les muscles ou de graisse sous la peau Qui est concerné Il existe deux principaux groupes de femmes touchées par le cancer de la vulve. Le plus grand groupe sont des femmes âgées de plus de 65 ans qui ont souvent une histoire de maladies de la peau non cancéreuses affectant la vulve, en particulier une condition appelée lichen scléreux . Ce compte de groupe pour un maximum de quatre cas sur cinq. Le deuxième plus petit groupe, sont les jeunes femmes qui n'ont pas encore traversé la ménopause . La cause exacte du cancer de la vulve est encore incertain, mais d'importants facteurs de risque comprennent notamment: • âge • fumeur • l'infection persistante par des souches à haut risque de virus du papillome humain (VPH) - en particulier une souche connue comme HPV 16, qui est une souche de virus HPV responsables de presque tous les cas de cancer du col de l'utérus • néoplasies intraépithéliales vulvaires (VIN) - où les cellules de la peau autour de l'expérience de la vulve changements pré-cancéreux, mais le cancer "épanouie" n'a pas encore mis au point; une minorité de cas va continuer de développer un cancer de la vulve Infection par le HPV et VIN sont responsables de la majorité des cas chez les jeunes femmes. Traitement Le principal traitement pour le cancer de la vulve est la chirurgie pour enlever les tissus cancéreux de la vulve et à évaluer les ganglions lymphatiques de l'aine pour vérifier si le cancer s'est propagé. Une combinaison de la radiothérapie et la chimiothérapie est utilisée si il semble que la chirurgie conduirait à une perte de contrôle de la vessie ( incontinence urinaire ) ou le contrôle de l'intestin ( incontinence de l'intestin ). Cette combinaison est également utilisée pour ralentir la propagation du cancer avancé si un traitement n'est pas possible, ce qui est connu comme les soins palliatifs. Impact émotionnel N'importe quel type de cancer est susceptible d'avoir un impact émotionnel négatif considérable. Mais développer un cancer dans l'une des parties les plus intimes du corps peut être profondément pénible pour une femme. Il peut également prendre plusieurs mois pour s'adapter aux effets de la chirurgie - à la fois physique et psychologique. Il existe une gamme de services qui apportent un soutien à la fois pratique et psychologique aux personnes touchées par le cancer de la vulve. Lire la suite dans la récupération des effets de la chirurgie de la vulve . Perspective Les perspectives pour le épidermoïde type de cancer de la vulve de carcinome est bon et beaucoup de femmes se rétablissent complètement. Environ 70% des femmes survivent pendant au moins cinq ans après le diagnostic, beaucoup vivent beaucoup plus longtemps et la plupart sera guéri. Les carcinomes spinocellulaires diagnostiqués aux stades initiaux ont un taux beaucoup plus élevé survie à cinq ans (90%) que les carcinomes diagnostiqués dans leur stade le plus avancé (20%). Les perspectives pour le type de cancer de la vulve de mélanome n'est pas aussi bonne. Mais il est difficile d'estimer fiables taux de survie à cinq ans car il est un type rare de cancer.